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Livres

Littérature et Inférences Anthropologiques

Par • 25 Mar 2019 • Catégorie: kongo kultur, Livres

Abel Kouvouama,

Littérature et Inférences anthropologiques, Folio 160 pages, Format 220*15 mm,

Isbn : 978-2-84220-100-5, Prix 20€

Parution 14/03/2019

Littérature et Inférences anthropologiques

Les sociétés contemporaines et les individus éprouvent au quotidien le besoin toujours croissant de comprendre la richesse de la diversité culturelle et sociale. Littérature et inférences anthropologiques, ce sont des choses écrites et des choses dites ici et ailleurs touchant à l’anthropologie, à la sociologie, à la philosophie et à la littérature dont il est question. Ces inférences anthropologiques,  inaugurées dans ce texte par le mythe de Mudumango (l’homme-panthère), regroupent des textes d’âges différents à valeur épistémologique, interdisciplinaire et ayant non seulement une certaine unité thématique, méthodologique, mais concernent également des terrains proches et lointains, des mondes sociaux, des espaces géographiques du Congo-Brazzaville et de France compris entre 1978 et 2018.

L’imaginaire et le pouvoir sont explorés ici à travers la question de l’État et de l’identité culturelle ethnique. Et dans le rapport de l’anthropologie à la littérature dans l’espace d’Afrique centrale notamment, il s’agit de souligner l’importance des mots dans les textes écrits comme dans l’oralité chez les écrivains congolais. Ainsi, l’étude interdisciplinaire de la formation des subjectivités dans les sociétés d’Afrique Centrale permet-elle d’appréhender aussi la question du rapport individu/communauté dans le champ littéraire ? De réfléchir sur les nouveaux contextes sociaux, économiques et politiques où se construisent les nouvelles formes de subjectivité littéraire à partir des vecteurs de la mondialisation.

La pratique anthropologique se situe aux interstices de l’altérité et de l’identité ; elle invite à une pédagogie de la différence construite dans l’unité de l’humain. Espace de réflexion sur l’Autre et sur soi, espace d’engagement et espace d’expérimentation du social, l’anthropologie dans son renouvellement tant du point de vue des méthodes que des thématiques se doit d’associer de plus en plus le regard éloigné et le regard proche dans la transversalité des situations, des imaginaires sociaux et des systèmes symboliques. Les questions abordées dans cet ouvrage s’inscrivent dans un même continuum de pensée réflexive et critique. Professeur Abel Kouvouama



Langage, science et politique chez Thomas Hobbes

Par • 17 Août 2018 • Catégorie: Livres

Langage, science et politique chez Thomas Hobbes

Auteur : Charles Lebon Nkourissa
Préface : Professeure Chantal Jaquet
Collection : Les Cahiers de Métaphysique
Format : 220*150 mm / Folio : 220 pages
Parution : 01/09/2018 / Poids : 310 gr
ISBN : 978-2-84220-165-4 / Prix : 25€
Commandes Particuliers www.librairiesindependantes.com
Commandes Libraires : Dilicom / Ediweb
Gencod Paari  : 3012401350018
www.expressediteur.com
Résumé :
Explorer la dimension calculatoire du langage chez Hobbes et analyser la théorie de la science et de la raison qu’elle implique en dégageant sa spécificité dans le paysage du xviie siècle constitue l’objet de ce livre qui s’articule en trois parties : le langage chez Hobbes, la science chez Hobbes, langage et science civile chez Thomas Hobbes.
De fait, le système linguistique hobbesien implique l’explication du langage comme condition de possibilité de la raison et l’usage de celle-ci comme faculté de calcul. Ainsi, la relation entre le calcul et la raison devient un objet d’investigation.
En effet, la raison fonde le langage et la science. Par l’argumentation, elle garantit la véracité des mots pour signifier le réel et permet par voie de conséquence l’extension du calcul et l’inauguration d’une nouvelle épistémè.
Cette épistémè engendre la science, notamment la science civile. Ainsi, la conception hobbesienne de la science civile se construit en se fondant sur la logique des mathématiques et de la physique.
Ce livre sur Thomas Hobbes, tout en dévoilant le rôle opératoire des mathématiques et leur implication pour signifier le réel, révèle comment la théorie de la science s’articule à la politique et projette un éclairage nouveau sur la science civile.

L’Abbé Charles Lebon Nkourissa est Docteur en philosophie de l’Université Paris 1 Sorbonne où il a été contractuel pendant trois années.
Il est l’auteur de plusieurs articles dont « Langage divin et royaume de Dieu chez Hobbes », dans Hobbes et le matérialisme, sous la direction de Jauffrey Berthier & Arnaud Milanese, aux éditions Matériologiques, et « Le langage dans la méthode résolutive compositive de Galilée à Hobbes », dans Cahiers congolais de métaphysique, vol. 2 & 3, sous la direction de Charles Thomas Kounkou, aux éditions Paari.
Il est actuellement secrétaire-chancelier de l’Archidiocèse de Brazzaville et professeur d’anthropologie philosophique, philosophie des religions et philosophie politique au Grand Séminaire interdiocésain de Brazzaville et à l’école des sciences religieuses.


Famille, foi, folie et soins en Afrique

Par • 17 Août 2018 • Catégorie: Livres
Famille, Foi, Folie et Soins en Afrique
Une pluralité de recours thérapeutiques complémentaires
 
Auteur : Daniel MBASSA MENICK
Préface : Professeur Abel Kouvouama
Collection : Germod (Groupe d’études et de recherches sur la modernité)
 
Format : 220*150 mm / Folio : 228 pages
Parution : 01/09/2018 / Poids : 310 gr
ISBN : 978-2-84220-163-0 / Prix : 25€
Commandes Particuliers www.librairiesindependantes.com
Commandes Libraires
Dilicom / Ediweb
Gencod Paari  : 3012401350018
www.expressediteur.com
Résumé :
Dans Famille, foi, folie et soins en Afrique, qu’avons-nous cherché à démontrer entre trois espaces traditionnel, confessionnel et institutionnel dans lesquels la famille africaine  se trouve confrontée à la maladie ?
Cet ouvrage montre comment dans le monde actuel  où les individus sont en perte de repères, la prière continue de faire résonner la colère et le tourment des familles envahies par le désespoir. Mais bien que le besoin de croyance se nourrisse d’un besoin de sens et de sécurité, certaines d’entre elles peuvent être engagées dans la souffrance lorsqu’elles tombent sur un groupe à fonctionnement sectaire, avec toutes les conséquences psychopathologiques, sociales et économiques que cela entraine.
Dans ces cas, il s’établit forcément un rapport entre la souffrance (maladie), la croyance (foi) et ce que d’aucuns pourraient appeler l’errance thérapeutique.
Ainsi, nous attirons l’attention des familles sur les dangers d’un tel investissement idéo-affectif lorsque celles-ci sont sous l’influence d’un nouveau leader religieux, mais nous mettons aussi en lumière la démarche inter-thérapeutique des familles qui naviguent en permanence entre les institutions, les religions et les traditions.
Cette navigation loin d’être une errance thérapeutique, s’inscrit plutôt dans un itinéraire thérapeutique de reconstruction identitaire dans lequel, le sujet ou sa famille demande à chaque instance de soins, ce qu’elle ne peut obtenir chez l’autre dans une complémentarité de compétences.
Pour commander l’ouvrage :

 

Daniel MBASSA MENICK
Né au Cameroun, l’auteur est psychiatre et pédopsychiatre.
Il est diplômé en psychocriminologie et en victimologie clinique.
Praticien hospitalier à l’EPS de Ville-Évrard (France) et universitaire, il est auteur de très nombreuses publications scientifiques.
Ses travaux s’intéressent notamment aux domaines de l’interculturalité et de la psychopathologie.


La résurrection du Loango suivi de Béréshit et Bismillah

Par • 15 Déc 2015 • Catégorie: Actualités, Évènements, Livres

La résurrection du Loango suivi de Béréshit et Bismillah

Auteur : Serge FéLIX-TCHICAYA

Format : 160 mm * 160 mm

Folio : 152 pages, Poids 170 gr

ISBN : 2-84220-091-6 / Prix : 15€

Mise à dispo au public : 15/12/15

Problématique

Cette poésie d’inspiration mystique, de Serge Félix-Tchicaya puise dans la très longue tradition de l’universel. Elle s’est nourrie d’une influence des textes sacrés, pour dévoiler son incompressible soif du Douk’dak, dont est jaloux tout fils de Loango. Lequel ne peut ignorer aujourd’hui « … Cette histoire, celle des sœurs jumelles, dansant la nuit et le jour, sur le rivage d’un Loango vieilli, désabusé ; ne sachant que faire de son passé glorieux… ».

En effet, par le passé, « À cette époque, le Loango s’enivrait quotidiennement de spiritueux, ce qui le rendait incapable de gérer ses richesses, enviées des habitants de la planète Mars… »

Cette quête spirituelle, héritière des Félix-Tchicaya, dont l’U’Tamsi de Diosso…, navigue à travers toutes les humanités pour nous dévoiler que « Le salut n’a pas de couleur ; il n’est ni juif, ni musulman, ni chrétien, ni kongo, ni… Il se pose sur celui qui ressemble à la verge de moshé. »

C’est un univers poétique d’un genre nouveau que Serge Félix-Tchicaya offre au lecteur avec quelques maximes en guise de morceaux choisis :

« Pourtant l’humain est au-dessus de toutes ces obédiences… »

« En effet, le monde changera le jour où les obédiences s’envoleront,… »

« Si la vertu, demain, est l’apanage des menteurs, le mensonge demeurera alors le porte-parole de la Vérité ! »

Mais il s’agit aussi des écrits, pour une renaissance, qui fondent souvent la grandeur des peuples, car «  la résurrection du Loango empruntera le sentier qui jouxte le saint des saints afin de se délester de sa nature congolaise. »

Possibilité de télécharger aussi le fichier PDF suivant : PubLoangotr1



Le temps de la désobéissance civile au Congo

Par • 6 Nov 2015 • Catégorie: Actualités, Livres

Le temps de la désobéissance civile au Congo

S’il y avait une échelle de Richter de la violence, la République du Congo se situerait au niveau 9, c’est à dire la position la plus catastrophique : assassinats, répressions violentes, guerres civiles, coups d’Etat réels ou virtuels, ont émaillé l’histoire politique de cette ancienne colonie française depuis l’indépendance acquise en 1960, avec pour corollaire, des milliers de morts et une pauvreté chronique dont le pays tarde à se remettre. Tous ces drames ont pour commun dénominateur la prise du pouvoir et/ou sa conservation.

Liminaire :

Le texte sur la désobéissance civile a suscité beaucoup de réactions. Pour recueillir d’autres signatures et archiver le débat, Paari éditeur laisse ce portail ouvert.

Les noms supplémentaires seront rajoutés sur le texte au fur et à mesure de votre inscription.

Les articles et réactions complémentaires, seront également placés sur le site du café littéraire.

Au final, l’ensemble des textes feront partie d’un ouvrage qui fixera la une fois pour toutes la mémoire collective.

Pour signer « Le temps de la désobéissance civile au Congo », postez votre nom, prénom, fonction et adresse mail afin que votre nom soit placé sur la base des données. Plus nombreux nous serons, plus nous contribuerons à faire entendre la voix des sans voix au Congo.

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Télécharger le fichier PDF actualisé des signatures (07/11/15) : Désobéissance7N

Le temps de la désobéissance civile au Congo

S’il y avait une échelle de Richter de la violence, la République du Congo se situerait au niveau 9, c’est à dire la position la plus catastrophique : assassinats, répressions violentes, guerres civiles, coups d’Etat réels ou virtuels, ont émaillé l’histoire politique de cette ancienne colonie française depuis l’indépendance acquise en 1960, avec pour corollaire, des milliers de morts et une pauvreté chronique dont le pays tarde à se remettre. Tous ces drames ont pour commun dénominateur la prise du pouvoir et/ou sa conservation.

Pour remédier de façon définitive à cette fatalité, la nation s’est retrouvée toute entière, sans exclusive et de façon solennelle, en une Conférence Nationale Souveraine (CNS) pour fixer les règles devant permettre à la vie politique de se redéployer sur des bases plus démocratiques, afin de conjuguer les efforts et affronter les enjeux de développement.

Ces règles du jeu, acceptées par tous, furent enchâssées dans la Constitution de 1992. Parmi celles-ci figurent, notamment, le multipartisme, les élections libres, le droit à la désobéissance civile et surtout, la limitation à deux du nombre de mandats du Président de la République, garantissant ainsi l’alternance et le renouvellement à la tête de l’Etat.

Mais voilà qu’après avoir cumulé plus de trente années à la tête de l’Etat, le Général Denis Sassou Nguesso, décide arbitrairement de changer les règles du jeu, avant l’échéance de son second et dernier mandat. Les principes si chèrement acquis à la Conférence Nationale, repris pour certains dans la Constitution en vigueur depuis 2002, sont donc remis en cause.

Le nouveau texte constitutionnel, élaboré dans l’opacité la plus totale, lui donne ainsi la possibilité de rempiler pour un nouveau mandat, renouvelable deux fois, et pourquoi pas, se faire succéder par un des siens, créant alors une dynastie. Par ailleurs, ce texte stipule en ses articles 10 et 91 l’immunité « planétaire » du Président de la République : « … Aucune poursuite pour des faits qualifiés de crime, délit ou manquement grave à ses devoirs commis à l’occasion de l’exercice de ses fonctions ne peut être exercée contre le président de la République après la cessation de ses fonctions. » (Cf. Article 91 de la Constitution soumise le 25/10/2015 au Référendum boycotté par les Congolais). Cette disposition officialise a posteriori, à la face du monde, les pratiques mafieuses ayant jalonné depuis 1977 l’offre politique de Denis Sassou Nguesso (assassinats de deux présidents de la République et d’un Cardinal en 1977 …), et institue ipso facto l’impunité généralisée.

Faute d’alternance démocratique au sommet de l’Etat, le Congo risque de renouer avec ses vieux démons : l’instabilité et la lutte acharnée pour le pouvoir, avec son lot de victimes.

Dans le simulacre de référendum constitutionnel du 25 octobre 2015 au Congo, il ne s’agissait pas d’exercer son devoir de citoyen en allant voter librement, en toute conscience, pour ou contre un texte de loi comme l’ont seriné les partisans du changement de Constitution. Il s’agissait de donner un vernis démocratique à un exercice frauduleux dont le résultat était connu d’avance.

La sagesse aurait voulu que le Général Denis Sassou Nguesso retire son projet de référendum. Malheureusement, il ne l’a pas fait. Illégalité. Forfaiture. Parjure. Dans ces conditions, aller voter NON, n’aurait rien changé, les urnes congolaises sous le règne du Général Denis Sassou Nguesso ayant un pouvoir miraculeux : tout bulletin NON qui y entre, en ressort transformé en OUI. Inutile donc d’aller voter car toutes les élections organisées par le Général Denis Sassou Nguesso depuis qu’il détient les rênes du pouvoir sont truquées.

Boycotter non plus, n’aurait servi à rien, la liste électorale étant faite de telle sorte que le pouvoir trouve toujours le nombre d’électeurs qu’il lui faut. Qui, par exemple, ignore qu’entre 2007 et 2014, la région de la Cuvette a connu une croissance démographique fulgurante et fictive de 45%, alors qu’au cours de la même période, la région du Niari, l’une des plus dynamiques du pays, a enregistré une étonnante baisse démographique de près de 20% (Cf. Commission Nationale des Elections, 2014, Congo). Ceci conforte le rapport de mission de l’Organisation Internationale de la Francophonie datant de 2013, qui stipule : « … la mauvaise qualité des listes électorales peut induire un important biais dans le résultat du scrutin, par exemple lorsqu’un groupe est sous-représenté ou surreprésenté en fonction de sa région de domicile, de son âge, de son sexe, de son ethnie, de sa religion ou de sa langue. »

Le 25 octobre 2015, un nouveau coup d’Etat contre la République a eu lieu. Et ce, au mépris des dispositions des articles 17 point 1, et 25 point 5, de la Charte Africaine de la Démocratie, des Elections et de la Gouvernance, et en totale contradiction avec les engagements de la communauté internationale tels qu’exprimés aussi bien par le président de la République Française, François Hollande, au Sommet de la Francophonie en novembre 2014, que par le président Américain, Barack Obama, au Sommet USA-Afrique en août 2014.

Maintenant est donc arrivé le temps de la désobéissance civile. Un droit constitutionnellement garanti, dans l’esprit républicain de la Conférence Nationale Souveraine de 1991.

Emmanuel Dongala, Ecrivain,

Richard B. Fisher Chair in Natural Sciences (Emeritus)

Bard College at Simons’s Rock, Massachusetts, USA

Mail : edongala@simons-rock.edu

Contacts et co-signataires :

Noël Magloire Ndoba, économiste universitaire, coordinateur du projet PURADDEP

Mail : bantuonline2009@gmail.com

Mawawa Mâwa-Kiese, Physicien

Mail : edpaari@yahoo.fr

Paris le 28/10/2015

Premiers Signataires

Aty Tsati Gilbert Journaliste
Babimba Roger Administratif
Bakima Baliele Mathieu Enseignant, Journaliste
Balonga Justin Enseignant
Balossa Joachim Enseignant
Bamezon Rostide RH
Baouna Bedel Journaliste
Bathem Léopold Evariste Avocat
Biango Mingwa Chef de projet (Telecom)
Bidounga Olivier Conservateur de Musée, retraité
Bimbou Gustave Journaliste
Bowao Charles-Zacharie Philosophe
Colelat Mary Albert Professeur de Droit, retraité
Dandila Justin Juriste
Dilou Bernadin Economiste
Djess Kibangou Maurice Economiste
Dzaba Jean-Benoît Economiste
Elenga Ayina Economiste
Facho Balaam Faustin Universitaire (Tchadien)
Itoua Okongo Jérôme Juriste
Kihoulou Antoine Historien
Kivouvou Donatien Architecte
Kounzilat Alain Editeur
Kwaou-Mathey Théodore Designer
Laokole Annette-Yoram Politiste (Tchadienne)
Libissa Alexandre Magloire Médecin
Loubassou Joseph
Loubelo Eugène-Fernand Physiologiste
Loukakala-Matsiona Basile Chef de projet (Telecom)
Loutaya Rosalie Infirmière Hospitalier
Louzala Maurille Enseignant
Mabandza Edouard Animateur Social
Mabiala Joseph Enseignant-Chercheur
Malalou Koumba Gertrude Enseignant-Chercheur
Maleckat Jean-Luc Economiste
Manckassa Christian Jean Claude Contrôleur de gestion
Mankessi Guy Journaliste
Manona Martin Historien et Administrateur
Mapingou Marc Sociologue
Mationgo Sébastien Philosophe
Mavoungou Pambou René Universitaire
Mbemba Théophile Logisticien
Mbemba-Dya-Benazo-Mbanzulu Rudy Avocat et Kongologue
Mboukou Alphonse Universitaire
Mene Berre José Consultant (Gabonnais)
Miayoukou Alexis Consultant
Missamou Jean-Félix Informaticien
Missamou Philippe Avocat
Missengué François Enseignant
Mohamed-Ali Abali Enseignant (Tchadien)
Mouanda-Moussoki Prosper Enseignant
Mouberi Aimé Avocat
Moukala Ferdinand-Justice Juriste
Moukolo Joseph Enseignant
Moussounda Simon-Pierre Romancier (Colonel)
Moutsila Brian Maintenance Informatique
Moutsila Ludwig-Josef Logisticien
Moutsila Winne Cadre hospitalier
Moutsila Astrid Cadre territorial
Moutsila Benjamin Professeur Retraité
Myamballat N.G. Sosthène Docteur Ingénieur
Ngolongolo Appolinaire Journaliste, écrivain
Nkounkou Séverin Enseignant Biotechnologie
Ntoungamani Benjamin Enseignant
Pantou Eric Avocat
Sadio-Morel Kanté Journaliste
Samba Dia Nkoumbi Jean-Richard Economiste
Tchinkati Rodrigue Informaticien
Touanga Marcel Colonel
Tsouares Paul Architecte
Youlou Philippe Avocat

Interview d\’Alexis-Richard Miayoukou

BYEqeALMbegInterview d\’Alexis Miayoukou

Benjamin Toungamani demande aux Congolais de continuer la lutte contre Sassou-Nguesso

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Hommage au Professeur Cheikh Anta Diop, samedi 07/02/2015, à la Maison de l’Afrique / IREA, de 10h à 18h.

Par • 4 Fév 2015 • Catégorie: Évènements, Livres

HOMMAGE AU PROFESSEUR CHEIKH ANTA DIOP

Samedi 7 février 2015

Lieu : IREA (Institut de recherches et d’études africaines) / Maison de l’Afrique

Adresse : 07, rue des Carmes, 75005 Paris,

Métro : Maubert Mutualité, ligne 10

Heures : de 10 heures à 18 heures

Cheikh Anta Diop est né le 29 décembre 1923 à Thieytou et décédé le 7 février 1986 à Dakar. Il fut physicien, historien, anthropologue, égyptologue et homme politique sénégalais. De formation scientifique, il avait dirigé le premier laboratoire de physique nucléaire au Sénégal et en Afrique. A l’encontre de l’idéalisme allemand représenté par Hegel, Cheikh Anta Diop inaugura une épistémologie des sciences humaines et sociales et des études africaines en argumentant sur l’apport de l’Afrique à la civilisation universelle.



Eglise et Santé au Congo : Cas du CHU de Brazzaville

Par • 7 Juil 2014 • Catégorie: Actualités, Livres

Eglise et Santé au Congo
Cas du CHU de Brazzaville

Auteur : Abbé Eric Béranger N’Sondé
Folio : 184 pages, Format : 148mm*105 mm
Date de parution : 07 juillet 2014
Prix Public T.T.C. : 12 € / 5500Frs Cfa
ISBN : 2-84220-0076-3
Pour commander l’ouvrage :


Tranches de vie à Bacongo 1940-1978

Par • 3 Mar 2012 • Catégorie: Actualités, Livres

Tranches de vie à Bacongo 1940-1978

Auteur : Fila Tiburce

Préface : N’Debeka Maxime

Collection : Sociétés contemporaines et urbanités

Folio : 302 pages

Impression de Luxe : Couverture avec rabats

ISBN : 2-84220-057-2

Prix : 30€

Parution : 02 mars 2012

Argumentaire :

De André Grenard Matsoua, à Ta Nkéoua Joseph, Fila Tiburce conte la tumultueuse épopée de Bacongo, un quartier de Brazzaville, qui avec le mouvement contemporain de La Sape,  ne cesse de transposer son bouillonnement culturel à travers la planète. Pour ce quartier qui continue d’héberger l’autre palais de L’Elysée – La case De Gaulle –, le trop plein d’inventivité culturelle de ses habitants se situe au carrefour d’une rencontre entre les populations bantu et la colonisation européenne.

En prenant cette initiative, l’auteur jette un pavé dans la mare. Il invite d’autres Congolais à partager eux aussi leur vécu, afin que toutes ces tranches de vie, venues d’Impfondo, de Mbanza-Nganga, de Pointe-Noire, de Zanaga, de Ngabé, etc., tissent le raphia d’une véritable histoire congolaise à léguer aux générations futures.

Ce livre n’est pas un voyage dans l’immense passé de Bacongo, mais une incursion dans les jeunes années de l’auteur. Ces morceaux choisis ou bribes d’évènements vécus par l’auteur sont ici partagés pour susciter d’autres vocations et/ou combler la soif d’une jeunesse congolaise, qui ne dispose pas toujours de manuels didactiques adéquats.

Bon de commande : TranchesPubli

La couverture du livre dispose de deux rabats didactiques qui montrent les six  personnalités qui ont dirigé le Congo de 1960 à ce jour.

La table des matières est assez explicite sur le contenu de l’ouvrage

Qui est FILA Tiburce ? Un Bacongolois

Orphelin à 14 ans, l’auteur a toujours su prendre des initiatives pour se forger un passage digne sur le chemin de la vie. Cependant, autodidacte invétéré, il s’inscrit à 20 ans aux cours par correspondance de l’Ecole Polytechnique de Vente de Paris pour préparer un diplôme de Technicien de promotion Commerciale, équivalent au Brevet de Technicien Supérieur Commercial.

Après un stage à Paris, il est engagé par le journal Jeune Afrique et en devient le Délégué Commercial au Congo de 1974 à 1977.



Jean-Paul Sartre : Introduction à sa philosophie de l’Existence

Par • 1 Fév 2012 • Catégorie: Actualités, Livres

Jean-Paul Sartre. Introduction à sa Philosophie de l’existence

 » Existence et Négritude « 

Auteur : David Mavouangui
Préface de Tanella Boni

Collection  Germod, 2nd édition
Folio : 92 pages, Format : 135*210 mm
Date de parution : 1er février 2012

Prix Public T.T.C. : 15 €  ; Thèmes : Philosophie.
ISBN : 2-84220-056-5

Argumentaire

Existence, liberté, transcendance, catégories fondamentales de l’humaine condition, concourent dans la philosophie de Jean Paul Sartre au surgissement véritable de l’être humain, et se traduisent en termes d’avenir, de projet, d’aliénation, d’engagement, de responsabilité.
Aucune essence en l’homme ne précède l’existence. Le sujet humain n’est pas objet, n’est pas identité. Il est ce qu’il est à partir de ce qu’il choisit, de ce qu’il se fait, sans le concours d’influences extérieures. Telle est la problématique Sartrienne de l’existence examinée notamment sous l’angle des représentations de l’en soi et du pour soi.
En effet, il s’agit toujours de s’élever de la vie, des vérités immuables, vers l’existence authentique, l’existence humaine où le sujet prend conscience de sa liberté, de sa souveraineté en tant « qu’existant » libre en rupture avec le donné, avec les conduites de mauvaise foi, avec la nature d’être de besoins, attaché à la stabilité provisoire de la vie terrestre.

Cette seconde édition, tout en bénéficiant de la préface de Tanella Boni, a été augmentée d’une troisième partie intitulée Existence et Négritude. Cette rencontre entre Sartre, Senghor, Césaire, Fanon, Damas, … sur les thèmes majeurs du xxème siècle, augure de nouvelles pistes de recherches.

Pour toute commande, Télécharger le fichier PDF suivant : Sartre1Pub_Mise en page 1

Sartre, un philosophe français des temps actuels. C’est pourquoi les éditions Paari ont intitulé cette seconde édition « Existence et Négritude : La nouvelle frontière philosophique ». En réactualisant les thèmes majeurs  du xxème siècle sur les mouvements de libération en Amérique latine, aux Caraïbes et en Afrique, la pensée sartrienne, dans sa rencontre avec la négritude, avait amorcé des pistes de recherches qui méritent d’être poursuivies pour donner sens à cette ère nouvelle de la mondialisation. On a vu Sartre et sa compagne Simone de Beauvoir auprès non seulement de la Négritude, mais aussi du Che,…

Simone de Beauvoir, Sartre et Che Guevara à Cuba en 1960

X, Simone de Beauvoir et Sartre au pied des pyramides en Egypte

David Mavouangui : L’auteur est philosophe et membre de la Société congolaise de philosophie (Sophia). Il a dirigé le Département de Philosophie à la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de l’université Marien Ngouabi de Brazzaville de 1991 à 2006. Parmi ses publications majeures, il faut noter Emmanuel Kant, Introduction à sa philosophie critique (Paari 2003), Ethique et Politique (sous la dir., Paari, 2004) enfin ; La philosophie de Kant et l’éducation (L’Harmattan, janvier 2012).

David Mavouangui

Rubrique réalisée par Mayinga Wenazo



Sur les ailes du temps. Itinéraire d’une enfance africaine

Par • 26 Juil 2009 • Catégorie: Actualités, Livres

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Sur les ailes du temps

Itinéraire d’une enfance africaine

De Bernard Tchibambelela

Collection Ta e nguala

Editions Paari, Paris, juin 2009

Problématique

Ce texte – écrit en 2001 à Cotonou – évoque l’école coloniale, qui obligeait les jeunes africains à chanter « Nos ancêtres les Gaulois », chanson inspiratrice, disaient les Instituteurs.

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Cette école interdisait systématiquement l’usage des langues africaines au sein de l’établissement scolaire. Mais, elle avait été un espace de forte socialisation entre enfants de Moungali, Ouénzé et Bacongo, des faubourgs de Brazzaville

L’école ainsi que la pratique du sport ne servaient pas qu’à développer l’esprit et le corps des enfants. Ils visaient aussi la gestation d’une élite qui était primée. On pouvait noter la prime d’excellence, d’encouragement ou les cadeaux offerts pendant les fêtes de Noël par le Gouverneur Général au Palais.

La ville et son école coloniale ne constituaient pas les seuls espaces d’éducation des enfants. Les parents envoyaient régulièrement leurs enfants, passer les vacances scolaires au village, pour acquérir les savoirs ancestraux, se former à la tradition. C’est au travers d’un oncle N’songui (Malafoutier ou récolteur du vin de palme) et N’ganga (Guérisseur), résidant au village, et d’autres enfants de son âge que l’auteur évoque la richesse du milieu rural.

Avec ce texte, le lecteur touche du doigt la société congolaise des années cinquante, qu’il peut comparer à celle d’aujourd’hui. L’ouvrage, en s’inscrivant dans une démarche didactique, de dévoilement autobiographique, est aussi un lieu de rencontre entre le passé et le présent.

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